Prix de la critique

Nous sommes heureux de vous annoncer les Prix de la Critique Théâtre, Musique et Danse de la Saison 2024-2025.

THÉÂTRE

GRAND PRIX (meilleur spectacle théâtral de l’année)
Le procès de Jeanne, d'après les minutes du procès de condamnation de Jeanne d'Arc -1431, m.e.s. d’Yves Beaunesne

PRIX GEORGES-LERMINIER (meilleur spectacle théâtral créé en province)
Qui som?, de et m.e.s. de Baro d’Evel (Festival d’Avignon)

PRIX DE LA MEILLEURE CRÉATION D’UNE PIÈCE EN LANGUE FRANÇAISE
Léviathan, de Guillaume Poix, m.e.s. de Lorraine de Sagazan

PRIX DU MEILLEUR SPECTACLE THÉÂTRAL ÉTRANGER (ex aequo)
Dämon, El funeral de Bergman, de et m.e.s. d’Angélica Liddell (Espagne)

Quatre murs et un toit, d’après des extraits de Bertolt Brecht, adaptation et m.e.s. de Lina Majdalanie et Rabih Mroué (Liban/Allemagne)

PRIX LAURENT-TERZIEFF (meilleur spectacle théâtre privé)
Les Liaisons dangereuses, d’après Choderlos de Laclos, adaptation et m.e.s. d’Arnaud Denis (Comédie des Champs-Élysées)

PRIX DE LA MEILLEURE COMÉDIENNE (ex aequo)
Judith Chemla, dans Le procès de Jeanne, conception Judith Chemla et Yves Beaunesne, m.e.s. d’Yves Beaunesne

Marina Hands, dans Le Soulier de Satin, de Paul Claudel, adaptation et m.e.s.d’Éric Ruf et Une Mouette, d’après La Mouette d’Anton Tchekhov, adaptation et m.e.s. d’Elsa Granat

PRIX DU MEILLEUR COMÉDIEN
Vincent Garanger, dans Article 353 du Code pénal, de Tanguy Viel, adaptation et m.e.s. d’Emmanuel Noblet

PRIX JEAN-JACQUES-LERRANT (révélation théâtrale de l’année)
Daphné Biiga Nwanak, dans Absalon, Absalon d’après le roman deWilliam Faulkner, adaptation et m.e.s. deSéverine Chavrier

PRIX DU MEILLEUR COMPOSITEUR DE MUSIQUE DE SCÈNE
Camille Rocailleux, pour Le Procès de Jeanne, conception Judith Chemla et Yves Beaunesne, m.e.s. d’Yves Beaunesne

PRIX DE LA MEILLEURE CRÉATION D’ÉLÉMENTS SCÉNIQUES
Le Munstrum Théâtre (Adèle Hamelin, Mathilde Coudière Kayadjanian, Valentin Paul et Louis Arène) pour Makbeth, d’après la pièce de William Shakespeare, adaptation Lucas Samainen collaboration avecLouis Arène, m.e.s. de Louis Arène

PRIX DU MEILLEUR LIVRE SUR LE THÉÂTRE
Le Théâtre Palestinien et François Abou Salem de Najla Nakhlé-Cerruti. Éd. Actes Sud

MENTION SPÉCIALE
La voix sur l'épaule - Dans les passées de François Tanguy, de Laurence Chable, conversation avec Olivier Neveux. Éd. Théâtrales

GRAND PRIX (meilleur spectacle chorégraphique de l’année)
Crocodile, de et avec Martin Harriague

PRIX DE LA MEILLEURE PIÈCE DE RÉPERTOIRE OU RECRÉATION (nouveau Prix)
Forever, immersion dans Café Müller de Pina Bausch par le Tanztheater Wuppertal / Terrain - conception Boris Charmatz

PRIX DE LA MEILLEURE COMPAGNIE
Ballet de l’Opéra national du Capitole, direction Beate Vollack

PRIX DU MEILLEUR INTERPRÈTE
Loup Marcault-Derouard (Ballet de l'Opéra de Paris)

PRIX DE LA RÉVÉLATION CHORÉGRAPHIQUE
Soa Ratsifandrihana 

PRIX DE LA MEILLEURE PERFORMANCE CHORÉGRAPHIQUE
Kill Me, de Marina Otero

PRIX DE LA PERSONNALITÉ CHORÉGRAPHIQUE
Emmanuel Eggermont

PRIX DU MEILLEUR LIVRE SUR LA DANSE
Une histoire dessinée de la danse, par Laura Cappelle et Thomas Gilbert. Éd. du Seuil

PRIX DU MEILLEUR FILM SUR LA DANSE
Être noir à l’Opéra, de Virginie Plaut et Youcef Khemane. Documentaire ARTE 2024

GRAND PRIX (meilleur spectacle musical de l'année) ex aequo
Don Giovanni, de Wolfang Amadeus Mozart, m.e.s. de Jean-Yves Ruf, dir. mus. de Julien Chauvin

Il Nome della rosa, de Francesco Filidei, m.e.s. de Damiano Michieletto, dir. mus. d’Ingo Metzmacher

PRIX CLAUDE-ROSTAND (meilleure coproduction lyrique régionale et européenne)
Faust, de Charles Gounod, m.e.s. de Denis Podalydès, dir. mus. de Louis Langrée (Lille, Opéra Comique)

PRIX DE LA MEILLEURE SCÉNOGRAPHIE
Emmanuelle Roy (décors) et Jean-Daniel Vuillermoz (costumes) pour Les Misérables, de Claude-Michel Schönberg et Alain Boublil, m.e.s. de Ladislas Chollat

PRIX DE LA CRÉATION MUSICALE (hors opéra)
Magnificat, de Geoffroy Drouin par Les Métaboles, dir. mus. de Léo Warynski

PRIX DE LA PERSONNALITÉ MUSICALE DE L'ANNÉE
Lucile Richardot, mezzo-soprano

PRIX DE LA RÉVÉLATION MUSICALE DE L'ANNÉE (ex aequo)
Laurence Kilsby, ténor

Quatuor Elmire (David Petrlik, Yoan Brakha, Hortense Fourrier, Rémi Carlon) 

PRIX DU MEILLEUR LIVRE SUR LA MUSIQUE
Les Femmes et la musique au Moyen-Âge, d’Anne Ibos-Augé. Éd. du Cerf

PRIX DE LA MEILLEURE INITIATIVE POUR LA DIFFUSION MUSICALE (répertoires et publics)
Héloïse Luzzati, fondatrice de l’association Elles Women Composers, du label La Boîte à Pépites et du festival Un temps pour Elles

Photo : Jean Couturier

THÉÂTRE

GRAND PRIX (Meilleur spectacle théâtral de l’année)
Le Voyage dans l’Est, de Christine Angot, adaptation et m.e.s de Stanislas Nordey

PRIX GEORGES-LERMINIER (Meilleur spectacle théâtral crée en province)
Le Mandat, de Nicolaï Erdman, adaptation et m.e.s de Patrick Pineau 
(Création aux Célestins – Théâtre de Lyon)

PRIX DE LA MEILLEURE CRÉATION D’UNE PIÈCE EN LANGUE FRANÇAISE
Cavalières, de Sarah Brannens, Karyll Elgrichi, Johanna Korthals Altes et Isabelle Lafon. Conception et m.e.s d’Isabelle Lafon

PRIX DU MEILLEUR SPECTACLE THÉÂTRAL ÉTRANGER
(ex aequo)
A Noiva e o Boa Noite Cinderela, de Carolina Bianchi (Brésil)

PRIX DU MEILLEUR SPECTACLE THÉÂTRAL ÉTRANGER
(ex aequo)
Les Émigrants, de W.G. Sebald,
adaptation et m.e.s de Krystian Lupa (Suisse et France)

Stéphane Braunschweig, directeur du Théâtre de l'Odéon

PRIX LAURENT-TERZIEFF
(Meilleur spectacle présenté dans un théâtre privé)
Guerre, de Louis-Ferdinand Céline,
m.e.s de Benoît Lavigne

PRIX DU MEILLEUR COMÉDIEN
Hervé Pierre dans Moman - Pourquoi les méchants sont méchants ?, de Jean-Claude Grumberg, m.e.s de Noémie Pierre, Hervé Pierre et Clotilde Mollet

PRIX DE LA MEILLEURE COMÉDIENNE
Noémie Gantier dans L’Art de la joie,
d’après l’œuvre de Goliarda Sapienza,
adaptation et m.e.s d’Ambre Kahan

PRIX JEAN-JACQUES-LERRANT
(Révélation théâtrale de l’année)
Sébastien Kheroufi pour la m.e.s de Par les villages,
de Peter Handke

PRIX DE LA MEILLEUR CRÉATION D’ÉLÉMENTS SCÉNIQUES
Emmanuelle Roy pour la scénographie de Neige,
de Pauline Bureau

Pauline Bureau

PRIX DU MEILLEUR LIVRE SUR LE THÉÂTRE
Armand Gatti, théâtre-utopie, d’Olivier Neveux. Ed. Libertalia

PRIX DU MEILLEUR COMPOSITEUR DE MUSIQUE DE SCÈNE
Reinhardt Wagner pour la musique de Zazie dans le métro, de Raymond Queneau, m.e.s de Zabou Breitman

MENTION SPÉCIALE
Une maison de poupée, d’Henrik Ibsen, m.e.s d’Yngvild Aspeli (Marionnettes)

© Kristin Aafløy Opdan

MUSIQUE

GRAND PRIX DU MEILLEUR SPECTACLE DE L'ANNÉE
Guercœur, d’Alberic Magnard, m.e.s de Christof Loy et dir. mus. d’Ingo Metzmacher

PRIX CLAUDE-ROSTAND (Meilleure coproduction lyrique régionale et européenne)
Picture a day like this, création de George Benjamin au Festival d’Aix-en-Provence

Marie-Christine Soma et Daniel Jeanneteau

PRIX DE LA MEILLEURE SCÉNOGRAPHIE
Rheingold, de Richard Wagner à Bruxelles, m.e.s et scénographie de Romeo Castellucci

Peter De Caluwe, directeur général et artistique de la Monnaie

PRIX DE LA CRÉATION MUSICALE (hors opéra)
Le Chant de la terre, de Laurent Cuniot par l'ensemble TM+

PERSONNALITÉ MUSICALE DE L'ANNÉE
Léa Desandre, mezzo-soprano

© Julien Benhamou

RÉVÉLATION MUSICALE DE L'ANNÉE
Claire de Monteil, soprano

MEILLEUR LIVRE DE L'ANNÉE
Jules Massenet, de Jean-Christophe Branger. Ed. Fayard

MEILLEURE INITIATIVE POUR LA DIFFUSION MUSICALE (répertoires et publics)
La Co[opéra]tive pour son travail de diffusion et de mise en avant des jeunes chanteurs.

Ella Berkovich, directrice de production

GRAND PRIX - MEILLEUR SPECTACLE
Black Lights, de Mathilde Monnier

MEILLEURE COMPAGNIE
Nederlands Dans Theater I

Emmanuel Demarcy-Mota

MEILLEUR  INTERPRÈTE 
Hugo Layer (CCN-Malandain Ballet Biarritz)

Yves Kordian, directeur délégué du CCN-Malandain Ballet Biarritz

RÉVÉLATION CHORÉGRAPHIQUE 
Anna Chirescu

MEILLEURE PERFORMANCE 
Invisibili, d’Aurélien Bory

PERSONNALITÉ CHORÉGRAPHIQUE 
Noé Soulier, chorégraphe
et directeur du CNDC d'Angers

Marion Coléter, directrice-adjointe du CNDC d’Angers

MEILLEUR LIVRE
So Schnell - Dominique Bagouet, de Raphaël de Gubernatis
(collection Chefs-d’œuvre de la danse, dirigée par Philippe Verrièle),
Nouvelles éditions Scala/Micadanses

MEILLEUR FILM
Resilient Man, de Stéphane Carrel, Flair Production

Le visuel du diplôme a été crée par
Léa Jézéquel et David Bobée

Photos des lauréat.e.s © Jean Couturier
Sauf pour Lea Desandre photographie © Julien Benhamou
Aurélien Bory photographie © Aglae Bory
et Ingvild Aspelli photographie © Kristin Aafløy Opdan

THÉÂTRE

GRAND PRIX (Meilleur spectacle théâtral de l’année)
Le Voyage dans l’Est, de Christine Angot, adaptation et m.e.s de Stanislas Nordey

PRIX GEORGES-LERMINIER (Meilleur spectacle théâtral crée en province)
Le Mandat, de Nicolaï Erdman, adaptation et m.e.s de Patrick Pineau 
(Création aux Célestins – Théâtre de Lyon)

PRIX DE LA MEILLEURE CRÉATION D’UNE PIÈCE EN LANGUE FRANÇAISE
Cavalières, de Sarah Brannens, Karyll Elgrichi, Johanna Korthals Altes et Isabelle Lafon. Conception et m.e.s d’Isabelle Lafon

PRIX DU MEILLEUR SPECTACLE THÉÂTRAL ÉTRANGER
(ex aequo)
A Noiva e o Boa Noite Cinderela, de Carolina Bianchi (Brésil)

PRIX DU MEILLEUR SPECTACLE THÉÂTRAL ÉTRANGER
(ex aequo)
Les Émigrants, de W.G. Sebald,
adaptation et m.e.s de Krystian Lupa (Suisse et France)

Stéphane Braunschweig, directeur du Théâtre de l'Odéon

PRIX LAURENT-TERZIEFF
(Meilleur spectacle présenté dans un théâtre privé)
Guerre, de Louis-Ferdinand Céline,
m.e.s de Benoît Lavigne

PRIX DU MEILLEUR COMÉDIEN
Hervé Pierre dans Moman - Pourquoi les méchants sont méchants ?, de Jean-Claude Grumberg, m.e.s de Noémie Pierre, Hervé Pierre et Clotilde Mollet

PRIX DE LA MEILLEURE COMÉDIENNE
Noémie Gantier dans L’Art de la joie,
d’après l’œuvre de Goliarda Sapienza,
adaptation et m.e.s d’Ambre Kahan

PRIX JEAN-JACQUES-LERRANT
(Révélation théâtrale de l’année)
Sébastien Kheroufi pour la m.e.s de Par les villages,
de Peter Handke

PRIX DE LA MEILLEUR CRÉATION D’ÉLÉMENTS SCÉNIQUES
Emmanuelle Roy pour la scénographie de Neige,
de Pauline Bureau

Pauline Bureau

PRIX DU MEILLEUR LIVRE SUR LE THÉÂTRE
Armand Gatti, théâtre-utopie, d’Olivier Neveux. Ed. Libertalia

PRIX DU MEILLEUR COMPOSITEUR DE MUSIQUE DE SCÈNE
Reinhardt Wagner pour la musique de Zazie dans le métro, de Raymond Queneau, m.e.s de Zabou Breitman

MENTION SPÉCIALE
Une maison de poupée, d’Henrik Ibsen, m.e.s d’Yngvild Aspeli (Marionnettes)

© Kristin Aafløy Opdan

MUSIQUE

GRAND PRIX DU MEILLEUR SPECTACLE DE L'ANNÉE
Guercœur, d’Alberic Magnard, m.e.s de Christof Loy et dir. mus. d’Ingo Metzmacher

PRIX CLAUDE-ROSTAND (Meilleure coproduction lyrique régionale et européenne)
Picture a day like this, création de George Benjamin au Festival d’Aix-en-Provence

Marie-Christine Soma et Daniel Jeanneteau

PRIX DE LA MEILLEURE SCÉNOGRAPHIE
Rheingold, de Richard Wagner à Bruxelles, m.e.s et scénographie de Romeo Castellucci

Peter De Caluwe, directeur général et artistique de la Monnaie

PRIX DE LA CRÉATION MUSICALE (hors opéra)
Le Chant de la terre, de Laurent Cuniot par l'ensemble TM+

PERSONNALITÉ MUSICALE DE L'ANNÉE
Léa Desandre, mezzo-soprano

© Julien Benhamou

RÉVÉLATION MUSICALE DE L'ANNÉE
Claire de Monteil, soprano

MEILLEUR LIVRE DE L'ANNÉE
Jules Massenet, de Jean-Christophe Branger. Ed. Fayard

MEILLEURE INITIATIVE POUR LA DIFFUSION MUSICALE (répertoires et publics)
La Co[opéra]tive pour son travail de diffusion et de mise en avant des jeunes chanteurs.

Ella Berkovich, directrice de production

GRAND PRIX - MEILLEUR SPECTACLE
Black Lights, de Mathilde Monnier

MEILLEURE COMPAGNIE
Nederlands Dans Theater I

Emmanuel Demarcy-Mota

MEILLEUR  INTERPRÈTE 
Hugo Layer (CCN-Malandain Ballet Biarritz)

Yves Kordian, directeur délégué du CCN-Malandain Ballet Biarritz

RÉVÉLATION CHORÉGRAPHIQUE 
Anna Chirescu

MEILLEURE PERFORMANCE 
Invisibili, d’Aurélien Bory

PERSONNALITÉ CHORÉGRAPHIQUE 
Noé Soulier, chorégraphe
et directeur du CNDC d'Angers

Marion Coléter, directrice-adjointe du CNDC d’Angers

MEILLEUR LIVRE
So Schnell - Dominique Bagouet, de Raphaël de Gubernatis
(collection Chefs-d’œuvre de la danse, dirigée par Philippe Verrièle),
Nouvelles éditions Scala/Micadanses

MEILLEUR FILM
Resilient Man, de Stéphane Carrel, Flair Production

Le visuel du diplôme a été crée par
Léa Jézéquel et David Bobée

Photos des lauréat.e.s © Jean Couturier
Sauf pour Lea Desandre photographie © Julien Benhamou
Aurélien Bory photographie © Aglae Bory
et Ingvild Aspelli photographie © Kristin Aafløy Opdan

Encore une fois, je voudrais remercier l’ensemble du Syndicat professionnel de la critique de m’avoir honoré en me décernant ce prix.
Comme je l’ai dit au moment de la remise du prix, cela récompense une aventure théâtrale précieuse par sa gravité et son humour.
En ces temps de guerre, de retour du populisme et des forces réactionnaires l’écriture humaniste de Jean Claude Grumberg est plus que nécessaire.

Cordialement,
Hervé PIERRE

Dim. 9 juin 2024, 09:30

THÉÂTRE

GRAND PRIX (Meilleur spectacle théâtral de l’année)
Le Voyage dans l’Est, de Christine Angot, adaptation et m.e.s de Stanislas Nordey

PRIX GEORGES-LERMINIER (Meilleur spectacle théâtral crée en province)
Le Mandat, de Nicolaï Erdman, adaptation et m.e.s de Patrick Pineau 
(Création aux Célestins – Théâtre de Lyon)

PRIX DE LA MEILLEURE CRÉATION D’UNE PIÈCE EN LANGUE FRANÇAISE
Cavalières, de Sarah Brannens, Karyll Elgrichi, Johanna Korthals Altes et Isabelle Lafon. Conception et m.e.s d’Isabelle Lafon

PRIX DU MEILLEUR SPECTACLE THÉÂTRAL ÉTRANGER
(ex aequo)
A Noiva e o Boa Noite Cinderela, de Carolina Bianchi (Brésil)

PRIX DU MEILLEUR SPECTACLE THÉÂTRAL ÉTRANGER
(ex aequo)
Les Émigrants, de W.G. Sebald,
adaptation et m.e.s de Krystian Lupa (Suisse et France)

Stéphane Braunschweig, directeur du Théâtre de l'Odéon

PRIX LAURENT-TERZIEFF
(Meilleur spectacle présenté dans un théâtre privé)
Guerre, de Louis-Ferdinand Céline,
m.e.s de Benoît Lavigne

PRIX DU MEILLEUR COMÉDIEN
Hervé Pierre dans Moman - Pourquoi les méchants sont méchants ?, de Jean-Claude Grumberg, m.e.s de Noémie Pierre, Hervé Pierre et Clotilde Mollet

PRIX DE LA MEILLEURE COMÉDIENNE
Noémie Gantier dans L’Art de la joie,
d’après l’œuvre de Goliarda Sapienza,
adaptation et m.e.s d’Ambre Kahan

PRIX JEAN-JACQUES-LERRANT
(Révélation théâtrale de l’année)
Sébastien Kheroufi pour la m.e.s de Par les villages,
de Peter Handke

PRIX DE LA MEILLEUR CRÉATION D’ÉLÉMENTS SCÉNIQUES
Emmanuelle Roy pour la scénographie de Neige,
de Pauline Bureau

Pauline Bureau

PRIX DU MEILLEUR LIVRE SUR LE THÉÂTRE
Armand Gatti, théâtre-utopie, d’Olivier Neveux. Ed. Libertalia

PRIX DU MEILLEUR COMPOSITEUR DE MUSIQUE DE SCÈNE
Reinhardt Wagner pour la musique de Zazie dans le métro, de Raymond Queneau, m.e.s de Zabou Breitman

MENTION SPÉCIALE
Une maison de poupée, d’Henrik Ibsen, m.e.s d’Yngvild Aspeli (Marionnettes)

© Kristin Aafløy Opdan

MUSIQUE

GRAND PRIX DU MEILLEUR SPECTACLE DE L'ANNÉE
Guercœur, d’Alberic Magnard, m.e.s de Christof Loy et dir. mus. d’Ingo Metzmacher

PRIX CLAUDE-ROSTAND (Meilleure coproduction lyrique régionale et européenne)
Picture a day like this, création de George Benjamin au Festival d’Aix-en-Provence

Marie-Christine Soma et Daniel Jeanneteau

PRIX DE LA MEILLEURE SCÉNOGRAPHIE
Rheingold, de Richard Wagner à Bruxelles, m.e.s et scénographie de Romeo Castellucci

Peter De Caluwe, directeur général et artistique de la Monnaie

PRIX DE LA CRÉATION MUSICALE (hors opéra)
Le Chant de la terre, de Laurent Cuniot par l'ensemble TM+

PERSONNALITÉ MUSICALE DE L'ANNÉE
Léa Desandre, mezzo-soprano

© Julien Benhamou

RÉVÉLATION MUSICALE DE L'ANNÉE
Claire de Monteil, soprano

MEILLEUR LIVRE DE L'ANNÉE
Jules Massenet, de Jean-Christophe Branger. Ed. Fayard

MEILLEURE INITIATIVE POUR LA DIFFUSION MUSICALE (répertoires et publics)
La Co[opéra]tive pour son travail de diffusion et de mise en avant des jeunes chanteurs.

Ella Berkovich, directrice de production

GRAND PRIX - MEILLEUR SPECTACLE
Black Lights, de Mathilde Monnier

MEILLEURE COMPAGNIE
Nederlands Dans Theater I

Emmanuel Demarcy-Mota

MEILLEUR  INTERPRÈTE 
Hugo Layer (CCN-Malandain Ballet Biarritz)

Yves Kordian, directeur délégué du CCN-Malandain Ballet Biarritz

RÉVÉLATION CHORÉGRAPHIQUE 
Anna Chirescu

MEILLEURE PERFORMANCE 
Invisibili, d’Aurélien Bory

PERSONNALITÉ CHORÉGRAPHIQUE 
Noé Soulier, chorégraphe
et directeur du CNDC d'Angers

Marion Coléter, directrice-adjointe du CNDC d’Angers

MEILLEUR LIVRE
So Schnell - Dominique Bagouet, de Raphaël de Gubernatis
(collection Chefs-d’œuvre de la danse, dirigée par Philippe Verrièle),
Nouvelles éditions Scala/Micadanses

MEILLEUR FILM
Resilient Man, de Stéphane Carrel, Flair Production

Le visuel du diplôme a été crée par
Léa Jézéquel et David Bobée

Photos des lauréat.e.s © Jean Couturier
Sauf pour Lea Desandre photographie © Julien Benhamou
Aurélien Bory photographie © Aglae Bory
et Ingvild Aspelli photographie © Kristin Aafløy Opdan

Merci beaucoup pour ce prix au « syndicat professionnel de la Critique théâtre, musique et danse ».

Ce livre paraît (sans l’avoir prémédité, il avait été écrit avant) l’année du centenaire de la naissance de Gatti, centenaire animé par l'infatigable et généreux militant Jean-Jacques Hocquard. Un centenaire qui n’est pas pensé comme une célébration mais plutôt comme une transmission. Parce que nous considérons qu’il y a dans cette œuvre poétique et théâtrale quelque chose d’inouï et une ressource incroyable pour penser autrement le théâtre qui se fait, celui qui va se faire. Autrement que comme le faire-valoir de la réalité, autrement que subordonné à la domination, autrement que réduit à ce qu’il semble, si souvent, devoir être. Un théâtre immense, avide de démesure. 

A ce titre, merci évidemment à Libertalia qui a accueilli ce livre et, à travers cette maison d’édition, merci à toutes celles qui ont l'inconscience de publier des livres sur le théâtre.

A ce propos, je voudrais dire un mot sur un autre livre, que j’ai eu l’honneur de co-éditer, celui de Jean Jourdheuil (je pensais qu’il aurait le prix) : Le théâtre, les nénuphars, les moulins à vent.

Pour trois raisons : parce qu’il y a là un ouvrage incomparable pour appréhender ce que le marché et l’Etat ont fait au théâtre — les analyses de Jourdheuil éclairent la catastrophe actuelle. 

Mais aussi, deuxième raison, parce que je souhaite parler de ce qui arrive. Le macronisme aura été, pour la culture et l’art, ce qu’il a été – et ce n’est hélas pas fini — pour les personnes migrantes, les chômeurs et les chômeuses, les précaires, les fonctionnaires, la jeunesse, etc. : un désastre.

On a évidemment des scrupules à employer des termes aussi forts que « carnage » ou « destruction » quand on pense aux crimes qui se commettent à cette heure, et ce matin encore, à Gaza, il faut donc savoir raison garder, mais il est nécessaire de prendre la mesure de l'entreprise macroniste de liquidation de « l’intérêt général » et, par exemple, du plan social en cours dans l’art et la culture, dont on va voir, très vite, les effets : des compagnies vont disparaître, des artistes vont perdre leurs droits au régime d’assurance chômage des intermittents, des labels sont dès maintenant en grande difficulté, le théâtre public est attaqué et on assiste au rétrécissement drastique et dramatique de la diversité esthétique au détriment, tout particulièrement, des esthétiques les plus minoritaires.

Et, enfin, de façon plus anecdotique, je voulais parler du livre de Jean Jourdheuil car c’est lui qui a dirigé il y a quelques décennies mon mémoire de maîtrise qui portait sur… Armand Gatti.  J’ai compris alors que, pour Gatti, à l’impossible « nous sommes tenu·e·s ». Et c’est grâce à Jourdheuil, à son exigence encourageante, que j’ai entamé cette si longue enquête pour tenter de découvrir les choses extraordinaires que Gatti exigeait que le théâtre accomplisse.

Ultime point : je voudrais associer au nom de Gatti le nom d’Hélène Châtelain qui a accompagné cette oeuvre, en plus de son travail à elle, somptueux, de traductrice et de cinéaste. J'aurais aimé avec elle aujourd’hui fêter l’hypothèse que Gatti ne soit pas seulement un nom du passé mais, aussi, celui d’un possible futur — utopie.

Olivier Neveux
Le 6 juin au Théâtre de la Ville-Sarah Bernhardt

Erika Fischer-Lichte recevra la distinction en 2024 lors du congrès mondial de Brno, en République tchèque
L'Association internationale des critiques de théâtre (AICT/IATC) a annoncé aujourd'hui que la professeure Erika Fischer-Lichte, célèbre théoricienne allemande du théâtre et de la représentation, recevra le prix Thalie 2024 lors de son prochain congrès mondial à Brno, en Tchéquie, en mai prochain.

Le prix Thalie est la prestigieuse récompense de l'AICT/IATC pour une contribution exceptionnelle au domaine de la critique théâtrale. Il est décerné à des critiques, des théoriciens et des praticiens qui ont joué un rôle important dans l'élaboration d'une compréhension globale du théâtre couvrant différents contextes culturels, politiques et esthétiques. Le comité Thalie 2024 était composé d'Ivan Medenica, président (Serbie),
d'Irina Gogoberidze (Géorgie) et de Pawit Mahasarinand (Thaïlande). Le comité exécutif de l'AICT/IATC a voté à l'unanimité la remise du prix à la professeure Fischer-Lichte lors d'une réunion qui s'est tenue plus tôt cette année.

Jeffrey Eric Jenkins (États-Unis), président de l'association, a déclaré : « Il est difficile d'imaginer le paysage de la pensée sur le théâtre mondial et la représentation au cours des dernières décennies sans les perspectives brillantes d'Erika Fischer-Lichte. C'est vraiment un plaisir pour nous de rendre hommage à son travail exceptionnel et à ses contributions dans ce domaine. »

Parmi les précédents récipiendaires du prix Thalie, on trouve une liste impressionnante de lauréats : Eric Bentley (États-Unis, 2006), Jean-Pierre Sarrazac (France, 2008), Richard Schechner (États-Unis, 2010), Kapila Vatsyayan (Inde, 2012), Eugenio Barba (Danemark, 2014), Femi Osofisan (Nigéria, 2016), Hans-Thies Lehmann (Allemagne, 2018) et Tadashi Suzuki (Japon, 2020). Aucun prix n'a été décerné en 2022 en raison des protocoles de santé publique en cas de pandémie.

Les nombreux travaux d'Erika Fischer-Lichte portent sur les questions de la théorie de la représentation, l'histoire du théâtre et de la culture européennes, l'esthétique transformative,
les représentations des tragédies grecques anciennes dans le monde entier depuis 1800, le théâtre et l'identité culturelle, l'entrelacement des cultures de la représentation dans le contexte des formes historiques et contemporaines de la mondialisation, et les concepts liés à la représentation dans les langues non-européennes.

Elle a notamment publié The Transformative Power of Performance: A New Aesthetics (2008), The Politics of Interweaving Performance Cultures: Beyond Postcolonialism (2014, avec S. Jain et al.), Tragedy's Endurance. Performances of Greek Tragedies and Cultural Identity in Germany Since 1800 (2017), Entangled Performance Histories. New Approaches to Theater Historiography (2023, avec T. Jost et al.), Performance Cultures as Epistemic Cultures (2023, avec T. Jost et al.).

Née en 1943, Mme Fischer-Lichte a étudié les études théâtrales, les langues et littératures slaves, la philologie allemande, la philosophie, la psychologie et les sciences de l'éducation à la Freie Universität Berlin et à l'université de Hambourg. En 1973, elle a été nommée professeure à l'Institut de langue et de littérature allemandes de l'université Johann Wolfgang Goethe de Francfort-sur-le-Main. En 1986, elle a repris la chaire de littérature générale et comparée à l'université de Bayreuth et, en 1990, elle est devenue directrice de l'Institut d'études théâtrales nouvellement créé à l'université de Mayence. Depuis 1996, elle est professeure à l'Institut d'études théâtrales de la Freie Universität Berlin et, depuis 2008, directrice du Centre de recherche international « Interweaving Performance Cultures ». Elle est membre de l'Académie des sciences et des lettres de Göttingen, de l'Academia Europaea, de l'Académie des sciences et des lettres de Berlin-Brandebourg, de l'Académie nationale des sciences Leopoldina et membre honoraire international de l'Académie américaine des arts et des sciences. Elle a enseigné en tant que professeure invitée au Brésil, à Cuba, en Chine, en Inde, au Japon, en Norvège, au Portugal, en Russie, en Espagne, en Suède et aux États-Unis.

THÉÂTRE :

GRAND PRIX (meilleur spectacle théâtral de l’année) : Les Idoles, de Christophe Honoré (Théâtre Vidy-Lausanne, Odéon-Théâtre de l'Europe)
PRIX GEORGES-LERMINIER (meilleur spectacle théâtral créé en province) : Insoutenables longues étreintes, d'Ivan Viripaev, mise en scène de Galin Stoev (ThéâtredelaCité de Toulouse)
MEILLEURE CRÉATION D’UNE PIÈCE EN LANGUE FRANÇAISE : Au-delà des ténèbres, de Simon Abkarian (Théâtre du Soleil)
MEILLEUR SPECTACLE ÉTRANGER : La Reprise (Histoire(s) du théâtre (1)), de Milo Rau (Festival d'Avignon, Théâtre Nanterre-Amandiers)
PRIX LAURENT-TERZIEFF (meilleur spectacle présenté dans un théâtre privé) : Girls and boys, de Dennis Kelly, mise en scène de Mélanie Leray (Théâtre du Petit-Saint-Martin)
La Ménagerie de verre, de Tennessee Williams, mise en scène de Charlotte Rondelez (Théâtre de Poche-Montparnasse)
MEILLEURE COMÉDIENNE : Marlène Saldana, dans Les Idoles, de Christophe Honoré (Théâtre Vidy-Lausanne, Odéon-Théâtre de l'Europe)
MEILLEUR COMÉDIEN : Nicolas Bouchaud, dans Démons, de Fédor Dostoïevski, mise en scène de Sylvain Crezevault et dans Un Ennemi du peuple, d'Henrik Ibsen, mise en scène de Jean-François Sivadier (Odéon-Théâtre de l'Europe)
PRIX JEAN-JACQUES-LERRANT (révélation théâtrale de l’année) : Suzanne Aubert, dans L'Ecole des femmes, de Molière, mise en scène de Stéphane Braunschweig (Odéon- Théâtre de L'Europe)
MEILLEURE CRÉATION D’ÉLÉMENTS SCÉNIQUES : Christian Tirole/Jean-François Sivadier (scénographie) pour Un Ennemi du peuple, d'Henrik Ibsen, mise en scène de Jean-François Sivadier (Odéon-Théâtre de l'Europe)
MEILLEURS COMPOSITEURS DE MUSIQUE DE SCÈNE : Éric Sleichim pour Electre/Oreste, d'Euripide, mis en scène d'Ivo van Hove (Comédie-Française)
MEILLEUR LIVRE SUR LE THÉÂTRE : Avec Joël Pommerat (tome II), l'écriture de Ça ira fin de Louis, de Marion Boudier, Éditions Actes-Sud Papiers 2018

 

MUSIQUE :

GRAND PRIX (meilleur spectacle lyrique de l’année) : Beatrix Cenci, Opéra d’Alberto Ginastera, DM Marko Letonja, MS Mariano Pensotti (Opéra National du Rhin, création française).
PRIX CLAUDE ROSTAND (meilleur spectacle lyrique créé en province) : Ariane et Barbe-Bleue, Opéra de Paul Dukas livret de Maurice Maeterlinck, DM Pascal Rophé, MSDCL Stefano Poda (Théâtre du Capitole de Toulouse)

MEILLEURE COPRODUCTION LYRIQUE EUROPÉENNE AVEC UN THÉÂTRE FRANÇAIS: Les Boréades, Opéra de Jean-Philippe Rameau, DM Emmanuelle Haïm à la tête de l’Orchestre et des Chœurs du Concert d’Astrée, MS Barrie Kosky (Opéra de Dijon Coproduction avec le Komisch Oper de Berlin)

MEILLEURE CRÉATION MUSICALE : Trois Contes, Opéra de Gérard Pesson, Livret et MS David Lescot DM Georges-Elie Octors Ensemble Ictus (Création mondiale Opéra de Lille Mars 2019 Coproduction avec les opéras de Rouen, Rennes et Angers/Nantes)
MEILLEUR CRÉATEUR D’ÉLÉMENTS SCÉNIQUES : Malgorzata Szczesniak, pour les décors de Lady Macbeth de Mzensk Opéra de Dmitri Chostakovitch, MS Krzysztof Warlikowski (l’Opéra National de Paris/Bastille)
PERSONNALITÉ MUSICALE DE L’ANNÉE : Michael Spyres, ténor
REVELATION MUSICALE DE L’ANNÉE : Alexandre Kantorow, pianiste
MEILLEURS LIVRES SUR LA MUSIQUE :
- Essai : Maurice Ravel intégrale de la correspondance (1895/1937), écrits et entretiens réunis par Manuel Cornejo Editions Le Passeur.
- Monographie : Alfred Cortot, par François Anselmini et Rémi Jacobs Editions Fayard.
MEILLEURE INITIATIVE POUR LE RAYONNEMENT MUSICAL: Opéra Junior de Montpellier dirigé par Jérôme Pillement au sein de l’Opéra Orchestre National de Montpellier Occitanie.

DANSE :

GRANDS PRIX : Venezuela, ch. Ohad Naharin (Chaillot-Théâtre National de la Danse)
MEILLEURS INTERPRÈTES : François Alu, Premier danseur du Ballet de l'Opéra national de Paris
PERSONNALITÉ CHORÉGRAPHIQUE DE L’ANNÉE : William Forsythe
MEILLEURS FILMS SUR LA DANSE : Maguy Marin, L’urgence d’agir, de David Mambouch, Ocean Films Distributions 
MEILLEURE COMPAGNIE : São Paulo Companhia de Dança
MEILLEURS LIVRES SUR LA DANSE  : Danser Pina, de Rosita Boisseau et Laurent Philippe, Ed. Textuel 2018

REMISE DES PRIX : 21 JUIN 2019, 11 heures

À L'OPÉRA COMIQUE

 

Fondé en 1877, le Syndicat professionnel de la Critique de Théâtre, devenu l’Association professionnelle de la critique de Théâtre, de Musique et de Danse, a pour buts de resserrer les liens de confraternité entre ses membres, de défendre leurs intérêts moraux et matériels, d’assurer la liberté de la critique. Il regroupe aujourd’hui 140 journalistes de la presse écrite et audiovisuelle, française et étrangère. Il décerne chaque année des Prix pour le Théâtre, la Musique et la Danse, rendant ainsi hommage aux artistes qui ont marqué la saison.